Toutes ces perceptions ont été pour moi au début des difficultés pour appréhender ce monde d’incarnation. A l’âge adulte, avec le temps et des thérapeutes efficaces, j’ai appris à apprivoiser ce côté de ma personnalité et de m’en faire un allié, de l’accepter comme un outil afin d’aider les autres. Longtemps est revenu en séance amener les personnes à « Vivre, avec un grand V », toujours cette énergie, ce souffle de vie, présent à mes cotés. Une formation spécialisée en nettoyages énergétiques, il y a 20 ans m’a permis aussi d’ouvrir un peu plus ces portes plus en confiance. Cela m’a permis aussi d’apprendre à nettoyer des énergies du bas astral. Mes outils ont commencés à se présenter et à se développer, j’ai reçu beaucoup d’aides et d’enseignements de mes guides qui m’accompagnent en séance. Encore aujourd’hui lorsque je ne sais pas comment faire, ils m’ouvrent des portes. Je dis toujours qu’en séance, ce n’est pas moi qui travaille mais mes guides de lumière. Je suis juste un canal qui leur permet d’agir à travers moi. Je me connecte à la problématique d’une personne, à un blocage, et les images ou les explications viennent. Parfois je vois comme un petit film, les ressentis accompagnent aussi, difficile de les transcrire par des mots, j’aimerais savoir dessiner ce qu’on me montre. L’énergie va me guider vers une mémoire personnelle de la personne (ancré dans cette incarnation), une mémoire liée à des ancêtres (transgénérationel) ou une mémoire lie à une vie passée (karmique). La lumière, cette énergie divine, m’aide à transmuter ces mémoires afin de libérer la personne, l‘âme de cette dernière. Je serais amenée parfois aussi (je ne choisis pas) à transmettre ce que je reçois de l’âme de la personne, à expliquer ce qu’elle est venue travailler (plutôt libérer) dans cette vie.

 

Parallèlement à tout ça, lorsque j’ai commencé à proposer des soins il y a 20 ans, ce domaine était très fermé. On m’a guidée vers le massage dans lequel l’énergétique pouvait ouvrir des portes.